« J’ai 31 ans, mais j’aime bien qu’on m’appelle mon garçon. C’est peut-être parce que les années ont passé plus vite pour moi que pour les personnes ordinaires. Je ne suis pas ordinaire, et je ne suis pas vraiment un garçon. J’ai 31 ans. Je devrais être un homme, mais je me sens comme un petit garçon »

« Ces hommes dangereux avaient tous un point commun : ils dégageaient une énergie sombre alimentée par une détermination inflexible, conjuguée à une capacité innée à se foutre totalement des conséquences de leurs actes »

« L’humanité s’est présentée à moi nue, dans ce qu’elle a de plus brut et de plus sincère, sans rien dissimuler de ses contradictions et de ses zones grises, faisant voler en éclat tout mes repères et me poussant à une introspection philosophique que je n’avais pas vu venir »

« Les gens des montagnes ne se battaient pas pour défendre un privilège ou une propriété privée mais pour un bien commun »

– Comprends moi Marthe... vous aviez de belles situations ta sœur et toi.
– Première nouvelle ! Depuis quand graphiste et prof de yoga sont de "belles situations" pour toi ?
– Depuis que vous voulez devenir patronnes de bar.

« ... Ou elles peuvent réserver leurs prières pour plus tard et simplement profiter de ce moment, du chaud soleil sur leur peau, des roses, de la compagnie d’une vieille amie. Car jouir du bien-être terrestre est également une forme de prière »